Des minimes
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Si tout le monde chante, qui va les écouter ?
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On n'est jamais trahi que par ses illusions.
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Pas de ceci, pas de cela, pas de rien.
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La vie commence tous les après-demains.
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A l'enfer, c'est là qu'on nous suivra.
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Merci de ne pas remercier.
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L'arrière-saison sans arrêt.
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Pour son métier il n'est point malicieux.
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On ne mange que n'importe quoi.
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Les pissenlits par les racines, ils sont comment ?
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Quand on entend, je vois.
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La-dehors, où habitent des ouis.
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A quoi sert-il, de ne pas servir à rien ?
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Mais, oui. Mais, non. Absolument. Sans doute.
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Le complément de complément de nom.
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Qui ne demande rien, n'a rien à vous donner.
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Je l'aime sans aucun superlatif.
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Il y n'a personne qui puisse nous excuser.
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Clarté. Transparence. Conviction.
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Mais ce cauchemar était bien fort réel.
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Par le moyen de médiatisation.
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Elle sait toujours à qui le tour.
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Avec mes illusions, je suis illusionniste.
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Rien ne se passe. C'est bien quelque chose !
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On n'est jamais plus riche qu'on se permet.
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Fini. Mais non ! Ça ne finit jamais.
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Et le suprême droit de se tromper...
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Réfléchissez-y un peu plus qu'un peu.
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Abstractions, mes enfants, mes amis.
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Les mots partis, ce sont les noms qui restent.
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Chez nous, ce n'est jamais comme si comme ça.
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Il y avait de roses ces jours-là.
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Ceux que j'aimais, et qui n'existent plus.
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Si on le veut, on peut le faire... parfois.
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Il pleut. Mon parapluie n'est pas fermé.
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Et puis, va-t-on aller ou s'en aller ?
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Il y en a eu jadis. Maintenant, il n'y en a na plus.
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L'amour, la mort... Les amoureux, les morts.
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Son ombre même va tout ensoleiller.
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Jamais plus. Un peu plus que jamais.
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Les anges innocents comme la mort.
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Plus que Paris, un peu moins que la vie.
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C'est bête ! Peut-être. Mais c'est comme ça.
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Il ne nous reste plus que nous tromper.
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Pour elle, c'est naturel parler français.
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Après la pluie, les roses sont même plus belles.
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Pas une chose à toucher.
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Au jamais, et encore : au jamais !
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Les pierres ne racontent que d'histoires...
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Des êtres malheureux cherchent à se prostituer.
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Palpitations inspirent.
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C'est vrai, mais c'est si naturel !
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Le monde en soi, pour soi, soi-même.
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Autant qu'il nous paraît tranquille.
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Elle aimait la douce France d'autrefois.
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Le monostique, c'est une chose singulière !
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L'engendrement de ses progénitures.
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Versez-moi de la pluie !
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Ceux malheureux qui sont toujours heureux.
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Comme toujours, sans excellence.
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Et si vous étiez déjà loin d'ici ?
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Vieux dieu, viable diable...
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L'amour, c'est quoi ? L'amour n'est que l'amour.
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Et voilà, malheureuse, malgré tout !
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A ma part, j'ai déjà oublié.
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Ça marche. Parfois très bien.
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De toutes les choses, elle choisissait une autre.
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Allons, tu as raison, mais moi le boss.
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C'est la où elle décide à tout quitter.
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Soit l'abondance, mais jamais pas trop.
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La précarité, sans couleurs.
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Pardonnez-moi, que-est ce que c'est que demain ?
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Mon dieu, il est parfait !
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Il n'en a pas. Il y en a déjà trop.
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Privé de la raison pour des raisons privées.
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Pas de pitié à ceux qui sont heureux.
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Pour s'aimer, y a toujours des excuses...
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Rien que ne rien être.
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Pas parfait. Mais vraiment formidable.
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Feux d'artifice, un peu artificielles.
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Il suffit de souffler pour souffrir.
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Quoiqu'il ne soit, il faut le bien garder.
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Si propre mon amour.
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Il nous fait dessiner les roses dans le ciel.
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Pas besoin de choisir entre elles.
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Je n'ai que vivre, et je vis.
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Tout l'amour, toute mémoire.
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Jamais blessé malgré toute faiblesse.
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Des jugements faciles, le vertu des vertueuses...
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L'amour, il fait du mal.
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Trop heureux pour ne jamais mourir.
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Vous avez tout, et moi, pour vous aimer.
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Pourquoi croire à un dieu si maladroit ?
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Les malheureux heureux d'en être.
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La saison des amours n'est jamais terminée.
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Tout simplement, attendre et s'attendrir.
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La nuit a créé le bruit de la mer.
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Il est un " très ", mais pas de trop.
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Quand il faut savoir, je ne sais plus.
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Vous n'êtes plus le fruit de nos amours.
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Qui cherche ne mourra jamais.
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Il y a toujours des muses à taquiner.
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La poésie, elle est en vers...
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Jouir reconnaissance sans être connu.
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Et c'est pourquoi il faut aimer.
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Tous les adieux à jamais.
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La fin, enfin!