La profession d'un journaliste est presqu'aussi vielle que celle de la putain, mais peut être plus contemptible. Un journaliste, c'est une personne qui n'a ni conscience ni respect de soi-même et qui va faire n'importe quoi pour attirer l'attention à n'importe quoi. Tous les moyens leur sont bons pour fricoter une autre sensation ; ils ne se préoccupent jamais de la vérité ou la justice, et journalisme n'a rien à faire avec la communication des informations.
La seule tâche d'un journaliste, le bourrage de crâne, a deux aspects complémentaires : la propagande massive et l'abrutissement. Les journalistes ne peuvent se permettre d'avoir une idée ou une conviction à leur même ; autrement, ils seraient bien certains de perdre leur boulot dans un instant. Ils doivent seulement servir des intérêts des cercles dirigeants de la société, et leur rémunération dépend de leur serviabilité et obséquiosité. Les média n'emploi jamais ceux qui sont portés à délibérer à propos des ordres du boss ; des journalistes sont recrutés de parmi des masses déjà abrutis, donc il n'a pas normalement de besoin de les fouetter, parce qu'aucune pensée séditieuse ne pénétrera leurs têtes.
Les méthodes de la suggestion collective employées par des journalistes sont entièrement basées sur des instincts élémentaires et des intérêts primitifs, restant toujours au niveau physiologique. Les journalistes essayent à persuader les gens qu'ils ne sont que des animaux et qu'il n'y a pas d'autres possibilités. Une technique complémentaire représente tout sentiment sérieux ou toute pensée raisonnable comme une propriété d'une élite, ainsi les presqu'anéantissant. L'existence même du journalisme est contraire à la nature universelle de la subjectivité et la raison.
Les journalistes sont largement ignorants, en ayant n'importe quelle formation. Tout ce dont ils ont besoin est une connaissance superficielle utilisé d'une manière ornementale à déguiser les plats virulents qu'ils servent au publique. Quand les média se mettent à la popularisation de l'art, de la science ou de la philosophie, c'est toujours idéologiquement saturé, au détriment des idées originales.
Apres le mensonge délibéré, la seconde technique principale du journalisme est manipulation. On peut toujours arranger des faits d'une façon à les faire supposer une certaine interprétation. Cette capacité peut être élevée au niveau de l'art, ou de la science, qui ne la fait plus respectable.
L'histoire humaine sais des exemples de bons scientifiques ou philosophes profonds qui perdaient leur sagesse et compétences le même instant qu'ils essayaient à recourir au journalisme. Son style grossier a mis beaucoup d'œuvres hors l'utilité contemporaine, leur content positif étant trop mêlé avec des détails peu importants et dilué par des incidents d'une époque distante ; par un exemple commun, mentionnons les travaux de K. Marx, F. Engels et V. Lénine, dont les vues philosophiques sont si difficiles à extraire de dessous des piles politiques que la même existence de la philosophie Marxiste est souvent mise en question.
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