Le paradigme médical
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Le paradigme médical

Le problème d'un diagnostic et/ou d'un traitement erroné est commun à toutes les branches de la médicine, mais il est particulièrement aigu en psychiatrie, où les mêmes astuces juridiques peuvent développer au niveau de l'oppression sociale. Les racines du problème résident en l'attitude humiliante même au patient, très commun en pratique et en recherche médicale. Essentiellement, l'approche dominante peut être formulée comme ça : quelque chose va incorrectement, et il faut le guérir. C'est-à-dire, on assume l'existence d'une " norme " universelle, avec toutes les déviations traitées comme des maladies ; donc les efforts à " restaurer " la santé du patient en mettant tout en œuvre, et l'admission des restrictions sociales pour le moment.

Mais des groupes sociaux différents ont leurs propres notions de norme, et ces notions peuvent largement varier. Ce peut être difficile de décider sur la " normalité " d'un cas particulier. La décision va nécessairement porter le caractère arbitraire, en étant considérablement dépendent de l'expérience du spécialiste et les tendances sociales.

Ce paradigme " médical " peut être rencontré dans beaucoup d'activités loin de la médicine. Par exemple, il forme la base du réformisme politique. Dans la pratique juridique, le " crime " et le " criminel " sont définis de la même façon relative. Très souvent, ce paradigme se manifeste en formation aussi. Les standards du style adoptés par plusieurs revues respectables peuvent être considérés comme encore un exemple du même.

Bien sûr, le monde est encore loin d'être parfait, avec tous ses défauts et désastres. Le paradigme médical est à travailler ensemble avec des autres attitudes pour améliorer la vie et soulager la souffrance. Quant on l'utilise avec prudence, il peut servir à résoudre des problèmes quotidiens d'une façon régulière. Pourtant, il faut l'augmenter par une variété des idées alternatives du " norme " et de la " déviation ". L'existence de l' " opposition " pareille ne va point diminuer l'importance du traitement médical, jusqu'aux solutions les plu drastiques " forcées " sur le patient. Mais les méthodes du traitement doivent graduellement devenir moins traumatiques, et c'est le complément nécessaire du paradigme médical, son aspecte opposé. Cependant, ce progrès peut seulement être achevé par l'expérience pratique, et les patients d'aujourd'hui ont, c'est-à-dire, à payer par leur peine pour l'aise des générations à venir.


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