La natation sportive est opposée au savoir-nager comme le dernier est opposé à l'inhabileté. Une personne sait nager quand elle peut se porter dans l'eau en une direction de choix sans se heurter contre des obstacles et sans devenir un obstacle pour les autres. Dans les styles sportifs de la natation l'élément de la raison est réduit au minimum, tout y est soumis à une compétition stupide en vitesse, sans aucun rapport aux besoins pratiques. La capacité de la natation dégénère dans les conditions artificielles de bassins sportifs, où il n'y a pas d'obstacles, pas de vagues ni de vente, et on n'est à considérer toujours les change de la situation. Un sportif ne regarde pas où il nage, il remue ses bras et ses jambe d'un air stupide seulement pour aller à toute vitesse dans la direction prédéfinie. Il ne s'intéresse pas de tout ce qui se passe autour de lui, il n'entend que son souffle. Finalement, quand quelqu'un de l'air sportif entre dans l'eau sur une plage publique, les gens ont à se jeter de côté de cet idiot qui ne peut pas manœuvrer avec prudence. Les styles sportifs de la natation ne sont essentiellement pas adaptés à la natation dans l'environnement naturel, et ceux qui sont instruits à nager comme de cette façon ne sont tout à fait capables à nager de la manière consciente, avec la raison. On a observé beaucoup de fois comme des nageurs sportifs pareils s'étaient perdus à la vague dure ou dans des autres situations difficiles.

Cela reconfirme le tort de l'adaptation excessive à l'environnement, aussi que la nécessité de l'approche raisonnable à l'instruction en toute sphère de l'activité humaine. Il ne faut pas tourner une personne à un robot, même si cela promette des avantages immédiats ou des superprofits. Mieux moins, mais meilleur. Soit imparfait, mais de la raison.