En son totalité, l'unisme, étant une idéologie cohérente, doit accumuler des idées apparaissant dans la culture humaine au cours des millénaires. Toute portion de la philosophie qui rend l'idée d'unicité, d'universalité et de l'unité du monde peut dire appartenir à l'unisme comme sa composante intégrante. Pourtant, il y a des philosophies qui expriment ce genre d'idées de la manière la plus claire et non ambiguë. G. W. F. Hegel et Karl Marx peuvent être appelée les plus proches des prédécesseurs philosophiques de l'unisme : ce premier a inventé une méthode uniforme pour traiter l'universalité en philosophie ; ce dernier a démontré comment cette méthode doit être utilisée de façon cohérente. En unisme, on peut retracer les influences de la philosophie grecque antique, les philosophes français de la Renaissance et le début des Lumières (Pierre Gassendi, Dom Deschamps) et, bien entendu, Baruch Spinoza. Il y a également une certaine marque des doctrines indiennes et chinoises, notamment leurs branches matérialistes.
La majorité des philosophies modernes ne parviennent pas à atteindre le niveau d'intégrité propre à des doctrine des siècles précédents. Au XXe siècle, le problème fondamental de l'unité du monde a été réduit à réductionnisme banal, ou même totalement rejeté. Par conséquent, des philosophies récentes ou élargissaient sans raison le domaine de l'applicabilité des principes méthodologiques spéciaux ou substituaient le verbiage inconsistant, isolé, chaotique, politiquement engagé en place de la pensée philosophique. On a proposé plusieurs nouvelles idées dans l'ancienne URSS, au sein de son genre officiel (et très restreint) du marxisme ; mais, en général, la philosophie moderne est encore assez stagnante. C'est pourquoi elle n'a pas contribué beaucoup dans le développement de l'unisme. Vers la fin du XX siècle, les philosophes ont commencé à redécouvrir les idées de dialectique et parler du matérialisme historique, même en les diluant avec de la confusion conceptuelle et de l'argo pseudoscientifique.
Bien sûr, la science a été une source d'inspiration pour l'unisme. L'histoire de la science offre un excellent exemple de développement hiérarchique, et la hiérarchie de la science a été un modèle prêt pour la hiérarchie en général. Dans la plupart des cas, cependant, science contribuait à unisme de façon négative : les tentatives de formaliser l'idée de hiérarchie ont mené à une compréhension claire qu'une formalisation pareil ne peut être atteint sans une révision drastique de la même logique de formalisation, et les principes de la logique hiérarchique ont été formulées en étudiant les limitations de la recherche scientifique. Aucune " meta-science " ne pourrait être assez universelle pour devenir philosophie, et la nécessité d'un fondement plus large pour unisme est devenue évidente.
En particulier, des études en mathématiques et en logique formelle étaient très importants pour le développement de la logique de l'unisme, une hiérarchie composé de la logique classique, la logique dialectique et la logique diathétique. En considérant les fondations de mathématique et les nombreux théories " alternatives " ou " non standards ", on vient à l'idée de la nature hiérarchique de la vérité formelle et la nécessité de plus d'attention aux limites du raisonnement logique et mathématique.
L'intérêt à la psychologie de l'homme a été une des sources principales d'unisme, parce que nulle part ailleurs la réflexivité universelle de développement hiérarchique se manifeste avec une clarté comparable. D'abord, on considérait essentiellement la psychologie de la perception de l'art et les aspects psychologiques de créativité ; plus tard, la plupart des branches de la psychologie moderne et même certains aspects de psychiatrie ont été attirées. La formation de la conscience dans le cadre de développement naturel a toujours été un problème central de la philosophie d'unisme.
Technologie informatique a beaucoup influencé la formation de l'unisme aussi bien. L'histoire des idées, architecture matérielle et logicielle, les protocoles des réseaux et les applications distribuées donnent un autre modèle des processus fondamentaux du développement traités dans l'unisme. La rapidité des progrès technologiques dans l'ordinatique les rend plus faciles à observer. Aussi, les ordinateurs semblent fournir un outil de simulation universelle ; ils suggèrent d'acquisition active au lieu de simple contemplation.
Et, bien entendu, l'unisme serait impossible sans les applications dans les arts. L'art est très diversifiée et dynamique ; il permet la mise en œuvre rapide de toute idée générale, quoique de façon syncrétique, ce qui peut empêcher la perception claire des principes de base.
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