Les accros au boulot et l'universalite humaine
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Les accros au boulot et l'universalité humaine

Aujourd'hui, le style d'affaires est marqué par pousser les employés à travailler le plus possible; il favorise la dévotion des gens au travail, jusqu'à 25 heures par jour, sans ni pause ni distraction. Ça concerne les hauts échelons aussi que le personnel des niveaux plus bas, et les chefs encouragent souvent leurs subordonnés à travailler plus en travaillant les trois-huit, ils même. Les sociétés volent le temps libre de leurs employés par des variés événements divertissants corporatifs (des soirées, des danses, des campings, du tourisme etc.). Normalement, les gens doivent assister aux activités pareilles pout montrer leur esprit corporatif, et tout ça ne ressemble pas beaucoup d'amusement ; un passant accidentel pourrait penser tout le monde exécuter un travail dur, mais non pas s'amuser. Eventuellement, les gens people perdent la capacité même de se reposer, en remplaçant la relaxation par une encore tâche ; cette agitation permanente peut se transformer à une perversion.

Pou tant que la définition même du sujet conscient exige l'universalité, la dévotion totale au travail est une tendance très dangereuse qui va mener la personnalité à la destruction complète. Les gens doivent parfois se relaxer en refusant s'occuper à une moindre chose, en dehors de changer d'occupation. Il n'a rien à faire avec temps perdu ; au contraire, c'est un mécanisme fondamental du développement personnel, et du développement de la subjectivité comme telle. Quand on ne peut pas avoir du reste passif, quand on a à se vouer complètement à la lutte pour l'existence, pour la carrière, l'argent, des nouvelles impressions ou la récognition publique, on va dégrader rapidement d'un être conscient à une genre d'animal, ou même d'un dispositif inanimé.

L'accrochement au travail est une maladie sociale, comme l'addiction au fumer, l'alcoolisme ou la toxicomanie. Il a beaucoup un commun avec des autres cas de la dépendance psychotique de la stimulation extérieure, comme l'hystérie ou les psychopathies. Ces détraquements sont caractérisés par le manque du contrôle conscient de la personne sur sa motivation, et conséquemment, le manque du respect de soi et du contentement de soi, qui doit toujours être masqué par des actions aléatoires. En un sens, ils sont l'opposé de la schizophrénie ; et exactement à ce raison, ils peuvent facilement se transformer à la schizophrénie dans des situations quand, à cause de quelques restrictions sociales, on ne peut plus continuer sa course à nulle part.

Comme avec toutes les maladies sociales, un accros au boulot est difficiles à guérir. Un thérapeute peut lui relever une action substitue, mais seulement pour vider le lieu pour une autre ; tout progrès ne peut être que temporaire, avec une rechute inévitable, tant que les racines sociaux du mal persistent. Parfois, la thérapie peut former en un patient une firme résolution à drastiquement changer de sa vie ; Mais la seul détermination n'suffit pas, parce que aucun changement réel n'est possible sans en environnement social favorable qui admette une diversité de comportement. Par exemple, si ce n'est pas facile de trouver un boulot bien payé pour supporter la famille de quelqu'un, il n'a que s'accrocher à ce qu'on a déjà, en démontrant la loyauté, en essayant à " contenter " les chefs etc. Tout signe d'indépendance serait un désastre, et ça complète la situation parfaite pour le développement de l'addiction au travail comme une défense psychologique.

L'accrochement au boulot est étroitement relié à un niveau bas de l'orientation contact dans la hiérarchie personnelle de transactions, et donc la dominance du syncrétisme et de la communication formelle, sans assez de transactions synthétiques (intimité). Ceux qui peuvent toujours trouver quelqu'un à en prendre soin et en recevoir du soin sont moins inclinés à devenir des accros au travail. Mais une intimité comme ça est assez rare ; elle ne peut pas être remplacée par passe-temps seul dans une compagnie des étrangers liés seulement par un besoin commun de cacher leur socialité défigurée.


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